Le sable m’a toujours fasciné, même si je déteste la plage ! Il y a quelque d’abyssal dans un grain de sable. Il contient tout le désert. Et le désert commence et finit à chaque grain de sable. Le vent, c’est les coïncidences, les hasards, les aléas. Parce que le sable, c’est aussi (voire d’abord) la loin du grain de sable. L’incident qui fait que le plan le mieux bâti risque toujours de s’effondrer (comme un château de sable, ou de cartes) au dernier moment, ou au premier, ou au deuxième. On ne peut pas tout prévoir, ce qui est très stressant pour quelqu’un comme moi qui aimerait pouvoir tout prévoir. La seule chose que l’on peut anticiper avec certitude, c’est que les choses ne se dérouleront jamais comme on l’a prévu. C’est ce que découvrent Charles et Hermann dans le roman. C’est ce que nous découvrons tous, tous les jours.
Le sable m’a toujours fasciné, même si je déteste la plage ! Il y a quelque d’abyssal dans un grain de sable. Il contient tout le désert. Et le désert commence et finit à chaque grain de sable. Le vent, c’est les coïncidences, les hasards, les aléas. Parce que le sable, c’est aussi (voire d’abord) la loin du grain de sable. L’incident qui fait que le plan le mieux bâti risque toujours de s’effondrer (comme un château de sable, ou de cartes) au dernier moment, ou au premier, ou au deuxième. On ne peut pas tout prévoir, ce qui est très stressant pour quelqu’un comme moi qui aimerait pouvoir tout prévoir. La seule chose que l’on peut anticiper avec certitude, c’est que les choses ne se dérouleront jamais comme on l’a prévu. C’est ce que découvrent Charles et Hermann dans le roman. C’est ce que nous découvrons tous, tous les jours.